Mars 2020. Le monde se fige, et nous avec.
Confinés entre quatre murs, pris dans un mélange d’incompréhension, de peur et de colère, je glisse peu à peu dans un cauchemar kafkaïen.
Alors, pour ne pas perdre pied, je sors mon appareil photo.
Et je décide de prendre une image par jour, pendant 30 jours.
Comme une tentative de rester en lien. Avec moi-même. Avec le réel.















































